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Politique

« Même le sucre n’est plus sucré au pays » : Jean Bruno Tagne peint un tableau noir du règne Biya

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Dans une analyse, le journaliste camerounais, auteur de « Accordée avec Fraude », dresse un bilan critique de la période Biya, en la comparant à l’ère Ahidjo. « Au temps d’Ahidjo, il ne fallait pas plus de deux morceaux de sucre pour accompagner une vaillante boîte de tapioca, que l’on pouvait d’ailleurs tremper dans une eau potable directement puisée à son robinet. Puis vint le fils du catéchiste, et tout bascula », écrit-il.Paul Biya lorgne un huitième mandat à la tête du pays. Plusieurs analyses convergent vers cette perception. Pour mobiliser son électorat, le Chef de l’Etat de 92 ans multiplie depuis le 31 mars, les interventions sur les réseaux sociaux. Toutes choses qui alimentent les spéculations sur une éventuelle campagne électorale anticipée. Mais la question de son bilan après 43 ans à la tête du Cameroun est sur toutes les lèvres.


Selon Jean Bruno Tagne, dans une sortie faite sur la toile, ce jeudi 03 mars 2025, le Cameroun a connu une dégradation de ses conditions de vie sous la présidence de Paul Biya. « Le pays était devenu étrange, un genre, bizarre, bancal, penché. Le sucre ne sucrait plus, et l’eau du robinet, si par miracle elle coulait, laissait à désirer. C’était désormais les bitchakala partout », affirme-t-il.


Selon Jean Bruno Tagne, voici comme Paul Biya détruit le Cameroun : « Avant que le pays ne tournât à l’envers…


Au temps d’Ahidjo, il ne fallait pas plus de deux morceaux de sucre pour accompagner une vaillante boîte de tapioca, que l’on pouvait d’ailleurs tremper dans une eau potable directement puisée à son robinet.

Puis vint le fils du catéchiste, et tout bascula. Il fallait désormais au moins cinq morceaux de sucre pour la même quantité de gari, accompagnés d’une bouteille de Tangui ou de Supermon pour éviter un séjour fatal dans un de ces mouroirs qu’on appelait hôpital.

Le pays était devenu étrange, un genre, bizarre, bancal, penché. Le sucre ne sucrait plus, et l’eau du robinet, si par miracle elle coulait, laissait à désirer. C’était désormais les bitchakala partout. »

Dans une analyse, le journaliste camerounais, auteur de « Accordée avec Fraude », dresse un bilan critique de la période Biya, en la comparant à l’ère Ahidjo. « Au temps d’Ahidjo, il ne fallait pas plus de deux morceaux de sucre pour accompagner une vaillante boîte de tapioca, que l’on pouvait d’ailleurs tremper dans une eau potable directement puisée à son robinet. Puis vint le fils du catéchiste, et tout bascula », écrit-il.

Paul Biya lorgne un huitième mandat à la tête du pays. Plusieurs analyses convergent vers cette perception. Pour mobiliser son électorat, le Chef de l’Etat de 92 ans multiplie depuis le 31 mars, les interventions sur les réseaux sociaux. Toutes choses qui alimentent les spéculations sur une éventuelle campagne électorale anticipée. Mais la question de son bilan après 43 ans à la tête du Cameroun est sur toutes les lèvres.Selon Jean Bruno Tagne, dans une sortie faite sur la toile, ce jeudi 03 mars 2025, le Cameroun a connu une dégradation de ses conditions de vie sous la présidence de Paul Biya. « Le pays était devenu étrange, un genre, bizarre, bancal, penché. Le sucre ne sucrait plus, et l’eau du robinet, si par miracle elle coulait, laissait à désirer. C’était désormais les bitchakala partout », affirme-t-il.Selon Jean Bruno Tagne, voici comme Paul Biya détruit le Cameroun :

« Avant que le pays ne tournât à l’envers…Au temps d’Ahidjo, il ne fallait pas plus de deux morceaux de sucre pour accompagner une vaillante boîte de tapioca, que l’on pouvait d’ailleurs tremper dans une eau potable directement puisée à son robinet.

Puis vint le fils du catéchiste, et tout bascula. Il fallait désormais au moins cinq morceaux de sucre pour la même quantité de gari, accompagnés d’une bouteille de Tangui ou de Supermon pour éviter un séjour fatal dans un de ces mouroirs qu’on appelait hôpital.

Le pays était devenu étrange, un genre, bizarre, bancal, penché. Le sucre ne sucrait plus, et l’eau du robinet, si par miracle elle coulait, laissait à désirer. C’était désormais les bitchakala partout. »





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