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Culture

Interview. Princesse Malan, directrice générale de 7 Green Films Productions « Je veux intéresser la Chambre de commerce de Beverly Hills à la Côte d’Ivoire »

Publié le :

Pourquoi avez-vous décidé de faire des vidéos pour la promotion de la Côte d’Ivoire à l’étranger ?

J’ai choisi de faire des vidéos pour promouvoir mon pays, la Côte d’Ivoire, parce qu’à travers ces vidéos, je peux capturer l’essence du pays tout en fournissant une plateforme dynamique et visuelle pour présenter les divers aspects culturels et touristiques, que notre pays a, à offrir. Cela aide non seulement à attirer l’attention sur notre riche patrimoine, mais soutient aussi directement le contenu de mon magazine dédié à l’art, à la culture, au tourisme et aux annonces locales.

Peut-on dire que ça marche comme vous le voulez ?

Absolument !. Faire la promotion de mon pays a toujours été une passion personnelle, née de ma fierté d’être Ivoirienne. Aujourd’hui avec la création de mon magazine, j’ai voulu professionnaliser cette démarche. En engageant un vidéaste professionnel, j’ai pu élever la qualité de nos contenus vidéo, rendant la promotion de la Côte d’Ivoire non seulement plus professionnelle, mais aussi plus efficace et captivante. Cela permet d’accroître la visibilité de notre culture, notre art et de nos destinations touristiques à un niveau jamais atteint.

Avez-vous reçu des retours ou des témoignages encourageants ?

Oui, j’ai reçu de nombreux témoignages positifs de la part de mon audience. Mes amis, abonnés et proches ont toujours été habitués à découvrir à travers mes photos et vidéos des aspects inédits et captivants, des endroits que je visite à travers le monde. Ce qui m’emmène à créer du contenu de qualité et d’original, que je m’efforce de maintenir et de surpasser avec chaque nouvelle publication.

Quel type de public visez-vous avec vos vidéos ?

Je vise principalement les membres de la chambre de commerce de Beverly Hills California, où je suis active en tant qu’Ivoirienne-Américaine. Mon objectif est de leur faire découvrir et apprécier la Côte d’Ivoire, à travers mes vidéos et photos uniques. En présentant la richesse de notre culture et de nos paysages, je souhaite encourager les échanges et les partenariats, comme des jumelages entre des villes de la Côte d’Ivoire et la ville de Beverly Hills par exemple. De plus, nous travaillons ici sur le projet Akwaba Days, un festival ivoirien prévu à Beverly Hills, qui sera l’occasion supplémentaire de célébrer et de partager notre héritage culturel, avec un public international.

Depuis quand existe ce projet et comment êtes-vous organisés?

Ce projet a démarré bien avant le début du Covid-19. Mon objectif principal est de bien promouvoir mon pays et en particulier Akwaba Magazine ou Akwaba Sun. Le reste suivra en son temps. Pour les dépenses, je les prends moi-même en charge. J’aime beaucoup voyager, faire des photos, des vidéos pour promouvoir mon pays. Je ne compte que sur moi-même. Pour mener à bien nos projets, nous bénéficions d’une organisation solide et efficace. Notre équipe est composée de professionnels dynamiques, incluant des vidéastes, des graphistes et des photographes, tous passionnés de l’art.

Quel impact pensez-vous que vos vidéos auront sur le tourisme et le développement de la Côte d'Ivoire à long terme ?

En promouvant les attraits culturels et touristiques de notre pays, nous espérons stimuler l’intérêt international. De plus, en envisageant des jumelages, des rencontres entre Beverly Hills et certaines villes ivoiriennes, nous créons des ponts culturels qui favoriseront le développement et la compréhension mutuelle. Ainsi, l’impact à long terme de notre travail contribuera significativement à mettre en lumière et à valoriser la richesse de la Côte d’Ivoire sur la scène mondiale.

Êtes-vous en partenariat avec des structures, si oui, lesquelles ?

Actuellement, Akwaba Sun Magazine n’est engagé dans aucun partenariat officiel, étant donné que nous sommes une publication relativement jeune, avec seulement cinq mois d’existence. Les débuts peuvent être difficiles, mais cela fait partie du processus naturel de développement et de maturation de toute nouvelle entreprise. Nous sommes cependant très ouverts et activement à la recherche de collaborations stratégiques, avec d’autres structures qui partagent notre vision de promouvoir la culture et le tourisme de la Côte d’Ivoire. Nous sommes confiants que ces partenariats se développeront à mesure que notre magazine gagne en visibilité et en influence.

De Lima Soro





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