« A propos de la Côte d’Ivoire et des nouvelles dispositions législatives qui n’assujettissent plus la reconnaissance d’un enfant adultérin au consentement de la femme. Je les approuve totalement.
Je n’ai même jamais compris la disposition abrogée. Dans toute société qui se respecte, l’intérêt de l’enfant doit passer au-dessus de toute autre considération.
Je suis pour qu’on aille plus loin en rendant gratuite la procédure (fructueuse) de recherche en paternité via des tests ADN. C’est cette société soumise aux passions des adultes irresponsables qui a créé les microbes et autres enfants « en conflit avec la loi ». »
Théophile Kouamouo
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Si Madame aussi a un enfant (adultérin) qui n'est pas du mari selon les tests d'ADN ? Et si Madame revient au foyer également avec un enfant? Pourquoi ne pas admettre en même temps la polygamie? Un permis aux hommes pour vagabonder. Merci ADO! Encore une "camerouniaiserie" de Theo Kouamouo! Il ferait mieux de s'occuper des nombreux problèmes du Cameroun! Bien que l'adultère constitue une faute grave pouvant entrainer le divorce, les actes d'adultère continuent d'être posés en Côte d'Ivoire, et les enfants qui en sont issus étaient jusqu'ici victimes des circonstances de leur naissance. Cela se soldait par un déni total d'identité émanant du papa géniteur (déjà marié) qui devait au préalable obtenir le consentement de son épouse légitime, avant de pouvoir reconnaître son enfant "naturel"/adultérin., ce qui dans la réalité ne semble pas aller de soi. En effet, combien d'épouses légitimes vont-elles accepter (dans le cadre du mariage monogame) que leurs époux reconnaissent pleinement leurs enfants adultérins ? Il est sérieux-là celui-là?
Publié le :
5 novembre 2019Par:
Bonébo