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COMMENTAIRES
Publié le :
5 avril 2017Par:
Kathia KamagateAujourd’hui, les pratiques lesbiennes atteignent desproportions insoupçonnées dans notre société en pleine mutation. Ce phénomène est devenu monnaie courante dans des milieux jusque-là non atteint. Même, certaines femmes mariées n’y échappent pas. Elles s’adonnent à cette pratique durant les séances de retrouvailles périodiques qu’elles organisent dans des milieux clos. le monde estudiantin voire professionnel est touché de plein fouet par ce phénomène passé sous silence….La quasi totalité des peuples africains a toujours condamné cette relation entre deux personnes de même sexe, jugée contre-nature et condamnée par la censure sociale. Face à cette censure, les lesbiennes se sont cachées pendant longtemps. Elles entretenaient des relations amoureuses dans la cachette et la discrétion la plus absolue. Cependant depuis un moment, nous constatons qu’elles s’affichent et exhibent leur appartenance à ce club sans honte ni vergogne mais avec une fierté inexplicable. En effet, le lesbianisme est récurrent dans notre société. Comment sont –elles arrivées là ? les raisons avancées sont diverses. Certaines affirment ne jamais avoir été satisfaite par un homme,les femmes ne jouissant pas aussi vite que les hommes, et pour qu’une femme arrive à ce niveau de plaisir intense, il lui faut des préliminaires et autres petits câlins. Or la majorité des hommes, au cours des ébats sexuels ne prête presque pas attention aux différents détailles. Ils préfèrent passer directement à l’acte et éjaculer sans se soucier de ce que ressent leur partenaire. Seuls, la satisfaction et le plaisir libidinal le préoccupe. Nombreuses sont ces jeunes filles qui pratiquent l’homosexualité et qui ont des attirances pour des femmes malgré elles. Elles naissent, grandissent et finissent par accepter ces désirs sexuels qualifiés de contre-nature. Certaines filles sont devenues lesbiennes par curiosité. Elles voulaient essayer afin de voir ce que cela faisait et y sont restées ..Publié le :
5 février 2017Par:
BonéboLA polygamie vaut bien mieux que l'homosexualité. Sur ce point au moins, l"Afrique mérite d'être enviée et ne doit point croire qu'être évolué c'est vivre l'homoPublié le :
5 février 2017Par:
Fatou DiagneEn Afrique du Sud, le viol correctif est une réalité pour un grand nombre de lesbiennes. Un quart des femmes qui s'identifient comme lesbiennes ou homosexuelles auraient eu des rapports sexuels non consentis avec des hommes, selon une étude publiée en 2013. En savoir plus sur :[https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3541146/ ]Publié le :
5 février 2017Par:
mammianabomination d'abomination!!!Publié le :
5 février 2017Par:
Tladi MugombaLa violence sexuelle (près de 500 000 viols par an), le machisme et la misogynie demeurent très présents dans la société sud-africaine. La " nation arc-en-ciel " a pourtant l'une des constitutions les plus progressistes en termes de protection des minorités. Alors que la majorité des pays africains condamnent encore pénalement l'homosexualité, les couples homosexuels sud-africains peuvent adopter un enfant depuis 2002 et se marier depuis 2006. Ce sont surtout dans les townships, ces vastes quartiers pauvres situés à la périphérie des grandes villes, que les lesbiennes vivent un enfer. Elles sont sujettes au quotidien aux menaces qui peuvent à tout moment être mises à exécution. A l'image de cet homme qui lance à cette militante lesbienne Sud-Africaine : "Tu as besoin de prendre une "leçon" et de recevoir "des coups de pine" dans ton con et ton gros derrière", car tu te comportes trop comme un homme, alors que tu es femme." Celle-ci raconte que son ex-copine est morte du sida après avoir été contaminée lors d'un viol par plusieurs hommes.Publié le :
5 février 2017Par:
Sapho LayeLe "viol correctif" des lesbiennes en Afrique: En Afrique du Sud, au Kenya, mais aussi au Mali et en Guinée par exemple ou au Niger, certains hommes obligent souvent les lesbiennes à avoir des relations sexuelles forcées avec eux, jugeant que cela permettra à celles-ci d'être remises "dans le droit chemin". Les pauvres lesbiennes sont violées collectivement par plusieurs hommes pour soi-disant les « guérir » et leur apprendre à aimer la pénétration masculine. Chaque semaine, plusieurs lesbiennes seraient violées ainsi dans toute l'Afrique (surtout en Afrique du Sud), mais il est difficile de connaître l'ampleur exacte du phénomène en raison de l'absence de statistiques officielles. Les victimes lesbiennes de ces viols vont rarement porter plainte au commissariat, car elles y trouvent souvent des policiers qui préfèrent fermer les yeux et qui pour certains d'entre eux, estiment même qu'elles l'ont "bien mérité", favorisant ainsi une culture de l'impunité.Publié le :
5 février 2017Par:
Assetou DieyeAujourd’hui, les pratiques lesbiennes atteignent des proportions insoupçonnées dans la société sénégalaise en pleine mutation. Ce phénomène est devenu monnaie courante dans des milieux jusque là non atteints. Même, certaines femmes mariées n’y échappent pas. Elles s’adonnent à cette pratique durant les séances de retrouvailles périodiques qu’elles organisent dans des milieux clos. Même le monde estudiantin voire professionnel est touché de pleins fouets par ce phénomène passé sous silence. Au Sénégal, dans l’entendement des gens, l’homosexualité renvoie souvent à deux hommes entretenant des actes contre nature, que les bonnes mœurs et la religion condamnent. Cependant, chez les femmes, le saphisme, plus communément appelé lesbianisme existe aussi. Certaines sénégalaises, {hélas}, préfèrent les femmes aux hommes. Ce serait une pratique, -d’après nos enquêtes-, qui n’est d’ailleurs pas récente, mais est longtemps passée sous silence ou inaperçue. Elle n’attire guère l’attention des gens. Contrairement aux hommes, les lesbiennes sont plus sournoises et difficiles à repérer. Elles sont souvent bisexuelles, mariées ou célibataires, il y en a même qui ont eu des enfants, menant une vie en apparence, normale. Comment deviennent-elles lesbiennes ? Qu’est ce qui les pousse à agir de la sorte ? Les réponses varient selon la personne. En fait, les femmes adoptent souvent certains comportements à la maison ou à l'internat, comme se laver ensemble, se toucher le sexe ou les seins de l’autre, qu’elles jugent sans gravité. Ce sont des jeux sexuels auxquels elles s’adonnent naturellement sans que cela mène tacitement à la dérive homosexuelle. Combien de femmes sont devenues lesbiennes et ont commencé à s’adonner au saphisme sans s’en rendre compte? D’autres jeunes filles nous dirons que «c’était juste l’occasion de rester vierge jusqu’au mariage. Un jeu entre des amies, mais qui n’implique aucun sentiment, mais c’est pour se faire plaisir un moment et puis ça s’arrête là...Publié le :
5 février 2017Par:
Fatou Diagne"gordjiguénes" est le nom en Ouolof des homosexuels et des "gouines"...Publié le :
5 février 2017Par:
Lago TapeEn matière de sexualité, la majorité des "psys" font clairement la distinction entre les « pratiques » et l’« orientation » : une femme peut ne se sentir bien qu’avec des hommes, se définir ainsi comme hétérosexuelle, tout en ayant des rapports sexuels occasionnels avec des femmes. Elle peut aussi éprouver des sentiments pour les hommes comme pour les femmes, mais décider de n’avoir de relations sexuelles qu’avec les uns ou les autres. La sexualité des humains n'est pas toujours simple. Elle est souvent complexe.Publié le :
5 février 2017Par:
Fatou DiagneLe nombre de femmes en Afrique ou en France ayant une expérience sexuelle au moins une fois dans leur vie avec une autre femme ne cesse d’augmenter. Aujourd’hui, près de 7% des 25-50 ans déclarent avoir essayé, selon l’étude des parcours individuels et conjugaux INED-Insee. Elles étaient 3 % en 1992 et 4 % en 2006. Désormais, les femmes sont plus nombreuses que les hommes à déclarer avoir couché avec une personne de même sexe, alors que, jusqu’à présent, elles se disaient être seulement « attirées ». Pour Wilfried Rault, sociologue à l’INED, ces pratiques (femmes ayant du sexe avec dautres femmes) sont à la fois plus nombreuses et plus déclarées – on assume davantage d’en parler. Pour une même raison : l’environnement est « moins hostile à l’homosexualité . Les magazines féminins disent qu’il faut avoir couché avec une femme (en tant que femme) pour ne pas avoir raté sa vie, mais ça relève du fantasme porno, du cliché hétéro. Des gamines peuvent se faire du mal en faisant ça. La sexualité entre filles n’est pas plus douce ou moins intrusive, pas du tout !Publié le :
5 février 2017Par:
KoffiNE GATEZ PAS NOTRE Pays avec vos abominations Satanique DANS nos l'homme et la femme pas femme et femme ou homme et homme ne gater notre continent ou nos traditionsPublié le :
5 février 2017Par:
Beugré JulienHomosexualité? L'ivoirien connait pas! Les sexes existent pourquoi alors?PLUS D'ARTICLES
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Publié le :
5 mai 2017Par:
Kissa Keletigui