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COMMENTAIRES
Publié le :
3 mars 2017Par:
Ali BengalaC'est honteux ! Le Gabon, pays minier par excellence, (avec du pétrole, du gaz naturel, de la bauxite, de l’uranium, de l’or et du manganèse ainsi que du cobalt ...) n’a même pas une grande école d’ingénieurs des mines http://inphb.edu.ci/1/vues/esmg/ du type de celle qui se trouve au sein de l’INP FHB de Yamoussoukro en Côte d’Ivoire : http://inphb.edu.ci/1/vues/accueil/Publié le :
3 février 2017Un comble ! Mais faut il s'en étonner ? Quand on sait la confusion entre les caisses de l’État et le portefeuille de dirigeants qui sont au plus haut sommet de celui ci... Faut pas s'étonner si nos élections ne se passent jamais très bien car diriger de tels pays est très lucratif pour celui qui à la place et il ne la cède pas facilement ou aux prix de morts nombreux. Mais voilà aujourd'hui le Gabon qui flambait hier là, tellement il est tombé, sa foret pillée, son pétrole mais on ils n'ont pas essence pour circuler... Vraiment l'Afrique hein !Publié le :
3 février 2017Par:
Youssef KouaméC’est aussi ce "saut technologique" vers la pétrochimie que les raffineries africaines n’arrivent pas à réaliser. Leurs installations demeurent de facture très simple, de type hydroskimming : elles sont seulement capables de transformer le pétrole en essence ou en fioul et permettent rarement de sortir des produits à forte valeur ajoutée ou de valoriser des produits lourds en produits légers. Bref, elles produisent trop de lourd et pas assez de léger… « Sur 100 tonnes de brut, une raffinerie africaine sort 60 % de produits "blancs" [essence, kérosène, butane], 35 % de fioul et 5 % de déchets, quand une raffinerie sophistiquée parvient à produire 80 % de produits blancs, lesquels se vendent beaucoup plus cher que le fioul. Plus une raffinerie transforme de "blanc", plus elle devient rentable.» Des investissements constants seraient nécessaires pour s’adapter aux évolutions du marché. Ils se chiffrent à plusieurs milliards d’euros, que les raffineurs africains seraient bien incapables de mobiliser. Car les raffineries souffrent déjà de graves problèmes de trésorerie, liés moins à leur gestion qu’à des raisons dépendantes des pouvoirs publics. « Le prix du carburant est souvent subventionné et le prix du butane plafonné. Il arrive aussi que les sociétés de production d’électricité ne paient pas leurs factures d’achat de fioul. Dans ces conditions, difficile pour les raffineurs de dégager du cash, de rentrer dans leurs frais et, surtout, d’acheter du pétrole à raffiner – même si la chute des cours leur a permis d’en acheter en plus grande quantité. « Le raffinage est très exposé aux prix du marché, se retrouvant coincé entre le prix du brut, très volatil et très spéculatif, et celui du produit fini, en fonction de l’offre et de la demande. La différence entre les deux prix, qui constitue la marge, peut fondre comme neige au soleil en fonction des événements [en Côte d’Ivoire dans les années 2000, en Libye depuis 2011 et désormais au Gabon]...Publié le :
3 février 2017Par:
Lago TapeAlors que le Gabon regorge de pétrole: plusieurs millions de barils extraits chaque jour en 2015, soit un pourcentage significatif de la production mondiale –, le Gabon raffine trop peu : moins du tiers de sa production. Et ses capacités installées qui sont faibles ne sont utilisées qu’à moins de 60 % ; un taux, parmi les plus bas du monde, dû à un manque de maintenance et d’investissements, à l’origine de nombreuses pannes et d’arrêts imprévus. La situation du Gabon n'est pas unique en Afrique. Mais, même en imaginant qu’elles puissent tourner à plein régime, les raffineries africaines seraient encore bien loin de répondre à une demande continentale qui s’établit à 3,8 millions de b/j, d’après les données publiées en juin par la BP Statistical Review of World Energy. Comble du paradoxe, le Nigeria : premier producteur africain, le pays importe depuis 2012 les trois quarts de son pétrole, après la mise en sommeil de trois de ses quatre raffineries, dont la maintenance avait longtemps été laissée en souffrance. Elles ont été réactivées en juillet 2015, mais ne fonctionnent qu’entre 60 % et 80 % de leurs capacités (jusqu’à 210 000 b/j). Cette situation globale affaiblit considérablement l’or noir africain sur son propre terrain. « On voit arriver sur les côtes du continent des produits finis d’Asie et du Golfe, expédiés à très bas coûts ». La faute en revient principalement à la petite taille et aux capacités insuffisantes de ces unités de production. « Nées dans les années 1960 dans le sillage des indépendances, la Société africaine de raffinage [SAR, au Sénégal] ou la Société ivoirienne de raffinage [SIR], maintenant vieillissantes, étaient adaptées à de petits marchés et à de faibles besoins ».Si la plus grande raffinerie du continent, à Skikda, en Algérie, traite 323 000 b/j, ce ne sont qu’entre 20 000 et 50 000 b/j qui sont produits en moyenne dans chaque raffinerie subsaharienne. Soit 35 fois moins que la plus grosse raffinerie du monde...publicitéPLUS D'ARTICLES
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Publié le :
4 avril 2017Par:
Youssef Kouamé