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Acculé par acteurs qui exigent sa démission Adama Coulibaly (DG du conseil coton-anacarde) se défend

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Des acteurs du salon international des équipements et des technologies de transformation de l’anacarde (SIETTA) ont remis le couvert le jour du nouvel an 2017. En effet, après ce qu’ils qualifient de « fiasco » l’organisation du 17 au 19 novembre 2016 à Abidjan, des acteurs, réunis au sein d’un collectif se sont fendus d’une déclaration selon laquelle ils demandent la démission de Adama Coulibaly de la direction générale Du conseil du coton et de l’anacarde pour « incompétence ». Et exigent un « audit sur sa gestion. Car depuis décembre 2016, des chèques émis par le conseil sont régulièrement impayés. Des tentatives de déblocage des comptes séquestres logés dans nos banques nationales sont en cours » soulignent ces mécontents dans leur déclaration. Pour ces acteurs, les producteurs ne pourront pas prendre leur place dans l’atteinte de l’émergence en 2020 si les choses venaient à rester en l’état actuel. Tout en dénonçant la passation des marchés qui ne répond pas aux règles établies par la direction des marchés publics. Le collectif dénonce également la gestion de la sacherie à l’association des exportateurs de cajou (AEC) pour la campagne 2016-2017 par Dr Coulibaly Adama, directeur général par intérim. Ils estiment que l’AEC a assez causé de problème à la filière avec d’anciens responsables qui continuent de prendre en otage la filière anacarde. Reçu par le directeur général mis en cause le 3 janvier 2017, un confrère rapporte que Dr Adama Coulibaly a d’abord démenti les allégations de ses détracteurs selon lesquelles le SIETTA a été un fiasco. Pour lui, la passation des marchés s’est déroulée selon les règles de l’art. A en croire le DG par intérim, les attaques et intrigues sont les raisons qui attestent bien que « que le SIETTA  a connu un franc succès ». Dr Adama Coulibaly a confié au confrère qu’il est victime d’une campagne de diabolisation sur fonds « d’accusations fallacieuses » à l’effet donc de l’éjecter de son fauteuil. « Tout ce qui est dit n’est que de la méchanceté gratuite » dira-t-il. Et de conclure que toutes les procédures de la bonne gouvernance ont été respectées à l’occasion de l’organisation du SIETTA de novembre dernier.
 
Bosco de Paré
 



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