Elles ne dérangent aucune autorité ni aucune population et nous ne sommes pas gênés de recevoir des hôtes de marque dans cette saleté. Pourquoi dépenser des sommes faramineuses pour installer des systèmes de destruction ou d’enfouissement de ces ordures quand personne ne s’en plaint ? on ne se donne même plus la peine de les cacher en les déversant loin des villes, dans la brousse. La saleté fait partie de notre quotidien. Elle est désormais inscrite dans notre normalité. Notre esprit l’a adoptée. Pourquoi donc la cacher ? A-t-on besoin d’avoir fait de longues études en médecine pour savoir que les ordures sont des vecteurs de maladies ?
Nous le savons tous, mais nous faisons avec. Il y a parfois des épidémies de fièvre typhoïde, de dengue, de paludisme ou d’autre chose. Elles passeront. Dieu est au contrôle. Ainsi vivons-nous depuis des décennies, avec la décharge d’ordures à ciel ouvert d’Akouédo, en plein milieu d’une ville peuplée de millions d’habitants. Cela fait des années que l’on en parle, que l’on promet de la fermer.
Il paraît que c’est fait. Mais les ordures sont toujours là et elles sont en train de se déverser dans la lagune. Ne peut-on pas s’en débarrasser ? Si, mais pourquoi dépenser des sommes faramineuses pour enlever des ordures qui ne dérangent personne ? Combien de temps a-t-on mis avant de réhabiliter l’ancienne maison d’Houphouët-Boigny, notre premier président, qui était occupée par des squatters qui en avaient fait une décharge d’ordures ?
La ville d’Abidjan a la chance exceptionnelle d’être bordée par la mer et traversée par la lagune. Qu’avons-nous fait de cette belle lagune ? Nous l’avons laissée se fermer sous nos yeux indifférents. Aujourd’hui, nous sommes en train de dépenser des sommes faramineuses pour aménager la baie de Cocody. Que faisons-nous des autres parties de la lagune, des autres lagunes ? Nous les laissons se polluer et se fermer. Celle de Bingerville reçoit une partie des eaux usées de la ville et est en train de devenir de la terre ferme. Sous notre regard totalement indifférent. Abidjan est aussi bordée par la mer. Qu’en avons-nous fait ? Nous avions installé des taudis sur son pourtour.
C’est seulement maintenant que nous avons compris que nous pouvons l’aménager pour en faire quelque chose d’esthétique et d’économiquement rentable. J’ai parlé de désordre. Voyez les centres et les principales rues de nos villes, encombrées par des kiosques, des boutiques, des tables. Quel quartier de nos villes obéit à un plan architectural ou urbanistique préalablement défini ? Lorsqu’il y en a, notre premier souci est de changer ce plan en transformant nos maisons selon nos goûts. Que l’on soit dans un quartier huppé ou défavorisé, chacun fait comme il veut. Ce qui défigure totalement nos cités et débouche parfois sur des drames, avec des maisons qui s’écroulent. Que traduisent ces ordures et ce désordre au milieu desquels nous vivons ? tout simplement notre état d’esprit. Ou plus précisément l’état de notre esprit. Nous avons l’esprit sale et désordonné.
Nous nous extasions lorsque nous découvrons des villes africaines propres et construites avec une certaine harmonie. Nous découvrons que l’ordre et la propreté ne sont pas une spécificité européenne, mais qu’elles peuvent exister aussi sur notre continent. Pourquoi ne faisons-nous pas pareil ? parce que notre esprit n’y est pas préparé. Il s’est accommodé des ordures et du désordre.
Tout cela vient de ce que nous nous sommes vidés de notre substance spirituelle. Et des escrocs ont comblé ce vide en créant un peu partout des églises, des temples, des camps de prière. Personne ne peut se proclamer médecin dans ce pays sans encourir la rigueur de la loi, mais n’importe quel quidam, n’importe quel repris de justice peut se prétendre « homme de Dieu », ouvrir une église, un temple, un camp de prière et prétendre y soigner toutes sortes de maladies, en toute impunité. Qui se préoccupe de tous les drames qui s’y déroulent, des personnes qui y meurent, qui y sont maltraitées, parfois torturées pour, dit-on, les délivrer ? on prétend délivrer les corps et les âmes, mais ce sont surtout leurs poches que l’on délivre.
Ce peuple n’a que le nom de Dieu à la bouche, mais Dieu est juste le moyen que l’on croit le plus facile pour accéder au matériel. Les pasteurs et autres prophètes sont les premiers à l’avoir compris. La baie de Cocody est en train d’être aménagée. Le bord de mer à Port-Bouët aussi. L’ancienne maison d’Houphouët-Boigny est en cours de réhabilitation. Certains maires comme ceux de Koumassi, Cocody, Adjamé et Abobo ont commencé à assainir leurs cités. Y a-t-il matière à espérer ? Attendons quelques mois, quelques années.
Le sage a dit : « Si tu veux changer le monde, change toi-même. » Le peuple ivoirien doit changer en se réarmant spirituellement. àqui incombe cette tâche ? Beaucoup d’entre nous tourneront certainement leur regard en direction du gouvernement. Mais que chacun se mette devant un miroir et il verra la personne à qui il incombe d’opérer ce changement.
VENANCE KONAN
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COMMENTAIRES
Publié le :
9 octobre 2019Par:
papusA qoi servent tous ces ministeres qui s'occupent de l'urbanisation,de la salubrite,des transports et autres. Une chose est de constater les maux qui minent notre societe,une autre chose est de designer les responables ou les coupables,V Konan s'est tout simplement abstenu de le faire et on le comprend aisement Moi je suis toujours scandalise de voir des automobilistes stationner pour se soulager faute de latrines publiques dans nos communes,a qui la faute?Publié le :
9 octobre 2019Par:
AkoiLe problème de l'insalubrité n'est pas que celui de la Côte d'Ivoire. Allez à Conakry, en Guinée: à Monrovia, au Libéria: à Kinshasa, en RDC. Les tas d'immondices entourent les marches où les vivres sont vendus. C'est l'expression d'une attitude mentale qui a fini par se cristalliser dans le comportement quotidien des africains. Ma ville natale, Macenta (en Guinée) était très propres tant que les blancs, par le biais de leur culture dont le socle est le matérialisme, contrôlaient la voirie. A partir des années 1970, à peine une décennie d’indépendance, le système de voirie a cédé devant une multitude de « raisons » : manqué de budget, de logistiques, de personnel... La culture subsaharienne, dont le socle est le social, secrète une civilisation qui est plus prône à s'accommoder, voire même épouser le contour des dynamiques de la nature. Conclusion, il faut amorcer une révolution culturelle au risque d'être éternellement à la marge de l'histoire. NB. Notre culture à de bons éléments. Par exemple, Il y a la facilité relative de l’intégration sociale chez nous que la culture de l’Occident pratique peu ou pas… Akoi SovohPublié le :
9 octobre 2019Venance Konan: Il faut bien situer les responsabilités de tous et de chacun… Que fait donc le gouvernement ainsi que nos municipalités avec l'argent de "la taxe pour la collecte des ordures" que nous payons sur nos factures CIE ? Tous les commerçants, même les pousseurs de charrettes « wotros » et de brouettes sont identifiés par nos mairies pour qu'ils paient des taxes ou patentes. Que font nos maires avec cet argent pour que tous les marchés de Côte d'Ivoire soient sales et brulent aussi souvent ? Que font nos maires avec cet argent pour que nos communes et marchés soient autant sales ?Publié le :
9 septembre 2019Par:
Loethiers MackanCet article de Venance est un fourre-tout pour ne pas préciser les responsabilités,comme d'habitude. Qu'est-ce que les hommes de Dieu ont à voir avec l'insalubrité urbaine et la négligence de véritables pans du patrimoine de la République? Il faut que tout le monde soit concerné quoi! Ils ont certes d'énormes responsabilités, mais il ne s'agit pas de celles que Venance leur attribue si superficiellement. C'est cela aussi la gangrène de notre société: des journalistes peu courageux!Publié le :
9 septembre 2019Par:
BismarkVoilàaaa Venance Konan, c'est sur ces faits de notre société que je t'attendais. Je me souviens qu'une fois tu a fait un édito sur l'ancienne résidence d'Houphouet et dès ton édito, le Gouvernement a pris la décision de réhabiliter le lieu. C'est ici que le Directeur du journal gouvernemental qui ne vit que grâce à l'argent du contribuable est attendu, mais non pas se constituer avocat d'une partie de la nations contre les autres parties de la même nation. Votre position en tant que patron de ce journal doit vous commander le droit de réserve sur les questions politiques. Cela pourrait donner de la crédibilité au Journal. Mais quand je pense que le Directeur d'un journal a pris resolument parti pour un camp, je préfère ne pas acheter ce journal. Fratmat est un journal du Gouvernement au service du bien être de tous les ivoiriens. Son Patron doit avoir cela à l'esprit. Faites donc des éditos sur la vie de notre société, ce qu'il faut corriger pour que tous les ivoiriens puisse se sentir à l'aide dans leur pays. Si cela est trop vous demander, alors vous pouvez deposer une demande d'emploi au jourla "le Patriote". Là bas, on s'attaque avec aise à Bedié et celui qui achète ce journal a dejà une idée de ce qu'il va y lire. En tout cas merci pour cet édito. Mais entre temps, n'es-il pas bon que tu suggère à ADO un Ministère de l'enlèvement des ordures? Tu sais avec les Ministères du riz et bientôt le Ministère de l'anacarde, de l'Hevea, du Cacao, du Café, du maïs, de l'huile rouge, du Palmier de quoi encore aidez moi...un Ministère des Ordures pourrait peut-être nous aider. Là en relation avec le Ministère de l'Assainissement et celui de l'Habitat et sous l'égide de celui de l'Hygiène qu'il faut pour recompenser un militant RHDP separé de la Santé, avec une collaboration parfaite avec le Minisètere des langunes qu'il faut absolument créer, je pense qu'on trouvera une solution pour la proprété de nos villes d'ailleurs gagagaga. QUE DIEU NOUS AIDEPublié le :
9 septembre 2019Par:
Loethiers MackanCet article de Venance est un fourre-tout pour ne pas préciser les responsabilités,comme d'habitude. Qu'est-ce que les hommes de Dieu ont à voir avec l'insalubrité urbaine? Il faut que tout le monde soit concerné quoi! Ils ont certes d'énormes responsabilités, mais il ne s'agit pas de celles que Venance leur attribue si superficiellement. C'est cela aussi la gangrène de notre société: des journalistes peu courageux!Publié le :
9 septembre 2019Par:
Forestier de LahouSachez aussi pour votre gouverne qu'il y a dans le district d'Abidjan des orpailleurs clandestins (peut-être même pas si clandestins que ça) qui déversent dans la lagune des effluents hautement toxiques à base de mercure. En termes de santé publique, cela représente une vraie bombe à retardement, mais pour le moment, ça ne gêne personne, car les cas d'intoxication aigüe au mercure ne sont pas encore très fréquents. Mais c'est très grave, surtout pour les enfants, et c'est très difficile à soigner. Par ailleurs, Venance Konan pleurniche ici (ou fait semblant) mais ça ne l'empêche pas de "manger" au Restaurant unifié. Quand on n'est pas d'accord, on s'oppose ouvertement, au lieu d'avoir un double discours !Publié le :
9 septembre 2019Par:
La Perle des OrduresPendant longtemps, Abidjan a été la vitrine de l'Afrique de l'Ouest et même de toute l'Afrique noire hors Afrique du Sud( ?). Abidjan était une belle ville caractérisée par ses gratte-ciels, ses rues bitumées bien entretenues et bien marquées, ses quartiers chics comme Cocody, Plateau, 2 plateaux, Riviera, Marcory Zone 4, Bietry, etc., par ses rues propres et salubres, ses immeubles et autres bâtiments aux façades toujours peintes, par ses échangeurs. Tellement belle qu'elle a été surnommée « La perle des lagunes » en référence à la lagune qui la traverse. Une lagune propre dans laquelle on n'hésitait pas à se baigner, à pêcher. Tout le monde voulait voir Abidjan. Tout le monde rêvait d'Abidjan. D'ailleurs, Abidjan était choisie par beaucoup de jeunes mariés Africains comme destination de voyage de Noces car il y avait aussi des hôtels de Luxe, qui n'enviaient rien aux palaces Européens. Abidjan la perle des lagunes a vécu. Abidjan la propre a existé. Abidjan l'enchantée a connu ses heures de gloire comme ville organisée, disciplinée et respectée. Aujourd'hui, Abidjan n'est plus que l'ombre d'elle-même. Comme une star connaissant la déchéance après un règne sans partage. Abidjan ne fait plus rêver. Abidjan est descendue de son piédestal pour devenir la ville la plus sale, la plus indisciplinée, la plus désordonnée, la plus anarchique, la plus insalubre de toute l'Afrique, dans l'indifférence totale de ses habitants, de ceux qui ont en charge sa gestion, par les autorités, toutes les autorités. L'ancienne "Perle des lagunes" est devenue "la reine des ordures" et c'est peu dire !Publié le :
9 septembre 2019Par:
Fatou DiagneC'est quoi finalement l'émergence ? Peut-on atteindre l'émergence sans propreté, ni hygiène ? Peut-on être sale et en mauvaise santé et vivre dans un environnement encrassé, encombré de détritus et parler d'émergence parce que le taux de croissance est entre 8% et 10% ? Certainement pas. La santé, c'est aussi bien l'hygiène personnelle (corporelle et « domiciliaire ») et la discipline aussi, ainsi que la propreté publique dans les rues, les hôpitaux, les restaurants et "maquis", les écoles, les marchés, les bureaux.etc...Le traitement des ordures et des eaux usées des grandes villes n'est pas une mince affaire, nulle part dans le monde. Mais ça se complique encore advantage, si les ivoiriens ne mettent pas la main à la pâte en nettoyant chez eux, leur quartier, en ne jetant pas les déchets en tous genre dans les canniveaux, dans la lagune et dans la mer...Les mairies ont des budgets pour gérer les immondices et certaines mairies travaillent bien comme celle de Bouaflé par exemple, mais quelle que soit leur ardeur à la tâche, lorsque plusieurs millions de citadins et de villageois jettent quelques centaines de grammes de plastique ou des résidus organiques, chaque jour que Dieu fait, dans la nature ou pissent comme les chiens sur la voie publique, on n'émerge pas. On sombre. On coule. On croule. On se noie sous la masse de crasse. Et on étouffe en raison de la puanteur...C'est ainsi qu'on devient un pays de merde!Publié le :
9 septembre 2019Par:
Youssouf KouameDans notre pays, l'esthétique et la propreté de nos cités sont les cadets des soucis de nos édiles (maires et députés). Apparemment, la seule chose qui les intéresse, c'est d'encaisser le maximum de taxes, et pour cela, il faut installer le maximum de commerçants, partout, le long des principales voies... Dans ce pays, tout le monde veut être commerçant, et personne ne peut dire à qui que ce soit qu'il y a des endroits réservés à cela. J'ai travaillé quelques années en Tunisie avec la BAD. Et l'une des choses qui m'a le plus frappe en Tunisie est la propreté des villes et les espaces verts. Chaque ville tunisienne a son boulevard de l'Environnement. Et l'on m'a raconté que le maire de la ville d'Hammamet fut limogé un jour par l'ex président Ben Ali sur le champs, parce qu'il avait trouvé la ville sale. Dans notre pays, la saleté ne dérange strictement personne, et l'on vit avec, dedans, à côté, sans état d'âme. Nous adorons nos ordures ; c'est pour cela que nous n'avons jamais interpellé nos Autorités face à cette situation. Et nos Autorités adorent aussi leurs ordures. Nous avons tous grogné ici parce que les factures d'électricité avaient pris l'ascenseur et quand le ministre Gaoussou Touré des Transports avait voulu changer nos permis de conduire. Mais personne à Adjamé, Abobo, Bingerville, Koumassi, Dabou, nulle part, ne grognera un jour parce qu'on le laisse vivre dans la saleté. Nous avons manifesté la plus totale indifférence devant le spectacle de l'ancienne maison d'Houphouët-Boigny et le siège historique du Pdci-Rda à Treichville transformés en dépotoirs. Lorsque nos élites visitent les villes du Maroc et de la Tunisie ou en Europe et en Amérique du Nord, elles ne manquent pas de s'extasier sur leur propreté. Mais de retour chez elles, cela ne les intéresse absolument pas de chercher à rendre leurs villes aussi propres et belles que celles qu'elles ont visitées. Parce qu'une ville ordonnée, propre, fleurie, c'est une affaire de blancs. La merde c'est ici.Publié le :
9 septembre 2019Que fait donc le gouvernement ainsi que nos municipalités avec l'argent de "la taxe pour la collecte des ordures" que nous payons sur nos factures CIE ? Tous les commerçants, même les pousseurs de charrettes « wotros » et de brouettes sont identifiés par nos mairies pour qu'ils paient des taxes ou patentes. Que font nos maires avec cet argent pour que tous les marchés de Côte d'Ivoire soient sales et brulent aussi souvent ? Que font nos maires avec cet argent pour que nos communes et marchés soient autant sales ?Publié le :
9 septembre 2019Par:
Lago TapeJe suis d'accord avec ce que Venance Konan a écrit. Venance Konan, ton analyse est pertinente…Publié le :
9 septembre 2019Par:
BI MICHELSans commentaire car pas d'insultes. C'est ça aussi la Côte d'IvoirePLUS D'ARTICLES
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Publié le :
9 novembre 2019Par:
Fognon.