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COMMENTAIRES
Publié le :
8 avril 2017Par:
La Perle des OrduresPendant longtemps, Abidjan a été la vitrine de l'Afrique de l'Ouest et même de toute l'Afrique noire hors Afrique du Sud( ?). Abidjan était une belle ville caractérisée par ses gratte-ciels, ses rues bitumées bien entretenues et bien marquées, ses quartiers chics comme Cocody, Plateau, 2 plateaux, Riviera, Marcory Zone 4, Bietry, etc., par ses rues propres et salubres, ses immeubles et autres bâtiments aux façades toujours peintes, par ses échangeurs. Tellement belle qu'elle a été surnommée « La perle des lagunes » en référence à la lagune qui la traverse. Une lagune propre dans laquelle on n'hésitait pas à se baigner, à pêcher. Tout le monde voulait voir Abidjan. Tout le monde rêvait d'Abidjan. D'ailleurs, Abidjan était choisie par beaucoup de jeunes mariés Africains comme destination de voyage de Noces car il y avait aussi des hôtels de Luxe, qui n'enviaient rien aux palaces Européens. Abidjan la perle des lagunes a vécu. Abidjan la propre a existé. Abidjan l'enchantée a connu ses heures de gloire comme ville organisée, disciplinée et respectée. Aujourd'hui, Abidjan n'est plus que l'ombre d'elle-même. Comme une star connaissant la déchéance après un règne sans partage. Abidjan ne fait plus rêver. Abidjan est descendue de son piédestal pour devenir la ville la plus sale, la plus indisciplinée, la plus désordonnée, la plus anarchique, la plus insalubre de toute l'Afrique, dans l'indifférence totale de ses habitants, de ceux qui ont en charge sa gestion, par les autorités, toutes les autorités. L'ancienne "perle des lagunes" est devenue "la perle des ordures" et c'est peu dire !Publié le :
8 avril 2017Par:
Aya de YopougonC'est quoi finalement l'émergence ? Peut-on atteindre l'émergence sans propreté ni hygiène ? Peut-on être sale et en mauvaise santé et vivre dans un environnement encrassé, encombré de détritus et parler d'émergence parce que le taux de croissance est entre 5 et 10% voire plus ? Certainement pas. La santé, la bonne santé c'est aussi bien l'hygiène personnelle (corporelle et « domiciliaire ») et la discipline, que la propreté publique dans les rues, les hôpitaux, les restaurants et "maquis", les écoles, les marchés, les bureaux... etc. Le traitement des ordures et des eaux usées des grandes villes n'est une mince affaire nulle part dans le monde. Mais ça se complique encore davantage si les citoyens ne mettent pas la main à la pâte en nettoyant chez eux, leur quartier, en ne jetant pas les déchets en tous genre dans les canniveaux, dans la lagune et dans la mer...Les mairies ont des budgets pour gérer les immondices mais quelle que soit leur ardeur à la tâche, lorsque plusieurs millions de citadins jettent quelques centaines de grammes de plastic ou des résidus organiques, chaque jour que Dieu fait, dans la nature ou pissent sur la voie publique, on n'émerge pas. On sombre. On coule. On croule. On se noie sous la masse de crasse. Ou on étouffe en raison de la puanteur.Publié le :
8 avril 2017Par:
Youssef KouameDans notre pays, l'esthétique et la propreté de nos cités sont les cadets des soucis de nos édiles (maires et députés). Apparemment, la seule chose qui les intéresse, c'est d'encaisser le maximum de taxes, et pour cela, il faut installer le maximum de commerçants, partout, le long des principales voies. Dans ce pays, tout le monde veut être commerçant, et personne ne peut dire à qui que ce soit qu'il y a des endroits réservés à cela. J'ai travaillé pendant quelques années en Tunisie avec la BAD. Et l'une des choses qui m'a le plus frappé était la propreté des villes et les espaces verts. Chaque ville tunisienne a son boulevard de l'Environnement. Et l'on m'a raconté que le maire de la ville d'Hammamet fut limogé un jour par le président Ben Ali sur le champs, parce qu'il avait trouvé la ville sale. Dans notre pays, la saleté ne dérange strictement personne, et l'on vit avec, dedans, à côté, sans état d'âme. Nous adorons nos ordures ; c'est pour cela que nous n'avons jamais interpellé nos autorités face à cette situation. Et ces autorités adorent aussi leurs ordures. Nous avons tous grogné ici parce que les factures d'électricité avaient pris l'ascenseur et que l'ex ministre Gaoussou Touré des Transports avait voulu changer nos permis de conduire. Mais personne à Adjamé, Abobo, Bingerville, Koumassi, Dabou, nulle part, ne grognera un jour parce qu'on le laisse vivre dans la saleté. Nous avons manifesté la plus totale indifférence devant le spectacle de l'ancienne maison d'Houphouët-Boigny et le siège historique du Pdci-Rda à Treichville transformées en dépotoirs. Lorsque nos élites visitent les villes d'autres pays ou continents, notamment celles d'Europe et d'Amérique du Nord, elles ne manquent pas de s'extasier sur leur propreté. Mais de retour chez elles, cela ne les intéresse absolument pas de chercher à rendre leurs villes aussi propres et belles que celles qu'elles ont visitées. Parce qu'une ville ordonnée, propre, fleurie, c'est une affaire de Blancs !!!Publié le :
8 avril 2017Par:
Woudy de MamahSous le règne de Laurent Gbagbo, nous avions vécu des années ici au milieu des ordures, sans trop nous plaindre de cela. À l'avènement du Président Ouattara, les ordures furent enlevées, la ministre Anne Ouloto dégagea certaines voies et nous applaudîmes. Mollement. (Les bailleurs de fonds de pays propres tels que les USA et autres se sont plaints en haut lieu de cette ministre qui osait lutter contre la saleté et déguerpir les commercants installes anarchiquement sur les trottoirs de nos villes et un remaniement a eu lieu...)... Mais chassez le naturel, il revient toujours au galop. Notre naturel est donc revenu en force. Et nos villes sont redevenues laides et sales. Et ! Ma foi, nous nous en accommodons. Parce qu'au fond, c'est ce qui nous convient. Les bailleurs de fonds eux-aussi aiment l'Afrique sale. C'est la vraie Afrique pour eux, l'Afrique qui les rassure...!Publié le :
8 avril 2017Par:
Thoko GuediawayeRegardez ce que nous avons fait de notre lagune et de notre bord de mer ! Imaginez que la ville d'Abidjan, avec cette lagune et cette mer se soit trouvée en Europe ou en Amérique. Nous sommes tous d'accord qu'elle aurait été autre chose, c'est-à-dire une merveille. Et nous sommes tout aussi d'accord sur le fait qu'il est normal qu'elle soit dans cet état parce qu'elle se trouve en Afrique. Aujourd'hui, la baie de Cocody est en train d'être réhabilitée. Mais regardez le reste de la lagune. Allez voir à Blockauss, Vridi, Bingerville, Attécoubé. Et puis attendez de voir ce que nous ferons subir à cette baie de Cocody lorsqu'elle sera réhabilitée. Alors, croyons-nous vraiment que nous pourrons émerger si nous ne sommes pas capables de nous débarrasser de nos ordures, d'embellir notre environnement, d'entretenir nos infrastructures ? Regardez les ouvrages en béton qui séparent nos voies rapides et nos ponts. Ils sont tordus, cassés par endroits et représentent de vrais dangers pour les conducteurs. Regardez les ouvrages en acier qui bordent les ronds-points, surtout celui qui se trouve au début de l'autoroute de Grand - Bassam. Déjà tout tordu alors que cette route vient à peine d'être ouverte. Il y a quelques années, quelqu'un avait installé des horloges le long de certaines voies. Elles se sont arrêtées les unes après les autres, se sont tordues, et sont tombées toutes seules, dans l'indifférence générale. Quel genre de peuple sommes-nous donc ? Sommes-nous vraiment certains que nous voulons émerger ? Ou alors, dans notre esprit, cette histoire d'émergence n'engage que le Président de la République, ADO seul ; et certainement pas nous autres.Publié le :
8 avril 2017Par:
Youssef KouameEn effet, dans notre beau pays, l'esthétique et la propreté de nos cités sont les cadets des soucis de nos édiles (maires et députés). Apparemment, la seule chose qui les intéresse, c'est d'encaisser le maximum de taxes, et pour cela, il faut installer le maximum de commerçants, partout, le long des principales voies. Dans ce pays, tout le monde veut être commerçant, et personne ne peut dire à qui que ce soit qu'il y a des endroits réservés à cela.Publié le :
8 avril 2017Par:
Forestier de Lahou"Malick" je suis étonné que l'ivoirien moyen soit incapable de comprendre que "la saleté comme tout autre" est nocive pour la santé. S'il ne comprend pas que le palu, la typhoïde, le choléra et beaucoup de formes de diarrhées ne sont que des maladies de la saleté, c'est à désespérer. Mais j'ai eu l'occasion de me rendre compte que les gens qui ne sont pas propres dans leur tête sont mal à l'aise dans un environnement qui est propre et sain.Publié le :
8 mars 2017Par:
Malickle constat c'est que le citoyen ordinaire ne perçoit pas la nocivité des sachets plastiques comme les environnementalistes et autres spécialistes du domaine. pour lui ce n'est ni plus ni moins que de la saleté comme tout autre. comment faire comprendre a une population en grande partie analphabète et pauvre qu'il faille préserver la nature en abandonnant le plastique? voici l’équation à résoudre pour les autorités en charge du secteur. et on peut dire que c'est pas gagné d'avance.Publié le :
8 mars 2017Par:
Forestier de LahouPlus de quatre ans après l'interdiction officielle, on ne devrait plus en être au stade de la sensibilisation, mais à celui de la répression massive, sévère et implacable. En CI, il n'y a aucune volonté politique de faire respecter les lois, surtout dans un domaine aussi futile que celui de l'environnement et de la salubrité. A qui profite cette gabegie ?Publié le :
8 février 2017Par:
Safiatou LayeOn peut voir partout que l'Etat Ivoirien n'applique pas ses propres Lois. Ce n'est pas seulement une affaire de sachets plastiques. De fait, l'Etat Ivoirien n'a aucune autorité. Autre exemple, celui de l'occupation illégale des espaces publics. Depuis Août 2013 les vendeurs ambulants et les mendiants ne devraient plus exercer dans les rues. Or, il n'est pas rare de voir des policiers réguler la circulation à un grand carrefour, où une femme et ses (faux) jumeaux de faciès et de taille différents demandent l'aumône, non loin de commerçants qui déambulent impunément. Il est vrai que ce ne sont pas les seules lois et décrets ivoiriens qui souffrent d'oisiveté après avoir été annoncés à grand renfort médiatique, mais ces exemples font partie des plus récents. Est-ce qu'il y a des lois prioritaires sur d'autres quant à leur application? Si oui quels sont les critères de sélection ?Publié le :
8 février 2017Par:
Ivoirien NouveauL'Etat qui n'applique pas ses propres lois ne peut avoir aucune autorité...Par exemple,les occupants illégaux des forêts classées de CI sont expulsées par décision de justice, mais la CI n'applique pas la décision de justice et permet que les forêts classées continuent d'être exploitées et occupées par des populations allogènes venues essentiellement du Burkina et du Mali... Ce n'est qu'un exemple parmi tant d'autres. Autre mauvais exemple, le gouvernement Ivoirien a interdit l'usage des cellulaires au volant, mais cette mesure n'est pas du tout appliquée, sans compter qu'en plus de cela, les chauffeurs des taxis communaux roulent allègrement sur les trottoirs, ne respectent pas les panneaux de signalisation et brulent tous les feux rouges, sans aucune conséquence ou sanction. L'Etat Ivoirien qui n'applique pas ses propres lois ne peut avoir aucune autorité...Publié le :
8 février 2017Par:
Fatou DiagneOù est donc l'Autorité de l'Etat et la crédibilité de nos élus, maires de nos communes ? Par exemple, les ivoiriens paient des taxes de ramassage des ordures (sur leurs factures de la CIE), mais les ordures ne sont pas ramassées. Afin de collecter toujours plus de taxes, les maires de nos communes ont transformé nos cités en un grand marché à ciel ouvert qui est aussi une poubelle à ciel ouvert puisque les ordures ne sont pas ramassées...On vend partout. Sur le moindre recoin de trottoir, il y a des vendeurs de manière anarchique! Il n'y a plus du tout de zones résidentielles et de zones commerçantes (depuis l'ère Gbagbo). N'importe qui peut ouvrir un maquis, un débit d'alcool partout, que ce soit en face d'une école maternelle ou primaire ou bien dans une zone d'habitations. Peu importe le bruit et la saleté, ainsi que toutes les autres nuisances causées par les buveurs de bières (clients de ces maquis ou débits de vente de boissons alcoolisées) qui pissent partout en plein air sans se cacher, la quéquette en l'air, à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit...Où est donc l'Autorité de l'Etat et la crédibilité de nos élus, maires de nos communes ?Publié le :
8 février 2017Par:
Awoulaba CoolCes lois et décrets qu'on n'applique pas.ou juste un peu! C'est la Nieme fois que cela m'arrive. Je prends un taxi, la sonnerie du téléphone du conducteur retentit, parfois il s'excuse, stationne le véhicule sur le bas-côté de la route et répond. La première fois j'ai été surpris, la seconde un peu moins, voire même légèrement agacée. En effet, le bon monsieur a même éteint son moteur, signe qu'il était bien décidé à prendre son temps sans penser à mes propres contraintes horaires. Depuis Octobre 2013, un décret interdit l'usage du téléphone au volant en Côte d'Ivoire. S'il n'est pas scrupuleusement respecté par tous les conducteurs, les policiers eux, prennent leur travail de répression très au sérieux, ce qui donne droit à des scènes assez étranges. [ « Policier : Vous téléphoniez au volant Monsieur! Conducteur (après avoir dissimulé son appareil) : Qui ? Moi ? Jamais ! Policier : Sortez donc votre téléphone, nous allons voir le dernier appel ! Conducteur : J'ai oublié mon téléphone à la maison. Policier : Donnez votre numéro de téléphone. »]. Bref ! Les conducteurs n'hésitent pas à mentir comme des arracheurs de dents, même quand leurs enfants sont assis sur la banquette arrière (bonjour l'exemple). Les policiers quant à eux ne badinent pas avec l'amende de 10 000 F CFA que le coupable doit donner. C'est écrit, c'est la loi, et je me demande à chaque fois si le chauffeur de taxi est plus préoccupé par ma vie et la sienne ou par ses 10 000 F CFA qu'il ne veut pas perdre. Quand je vois le zèle et la promptitude des forces de l'ordre à faire appliquer ce décret ; je me pose la question suivante: pourquoi autant de sérieux n'est pas mis dans l'application d'autres mesures qui, pour certaines, sont survenues bien avant cette affaire de téléphone au volant? Si j'ai bonne mémoire, un décret interdisant de fumer dans les lieux publics a été signé depuis Octobre 2012 ! Et pourtant, des cheminées ambulantes continuent de cracher leur fumée au visage des passants ...Publié le :
8 février 2017Par:
Souleymane RDRL’argument avancé par certains proches du chef de l’Etat, qui murmurent qu’il faille ménager la population ivoirienne en raison de la longue crise qu’elle a vécue. «Excellence, si vous devez travailler comme il se doit, travaillez sans chercher à plaire d’abord. On vous jugera à l’arrivée. Sortez donc vos ‘’griffes’’de temps en temps tel que nous vous avions connu en 1990 »... Il faut sanctionner les fauteurs de trouble et mettre en prison les voleurs qui détournent les deniers publics...Publié le :
8 février 2017Par:
Lago TapeDésordre généralisé, faible application des mesures publiques…: Etat ivoirien, où es-tu ? En effet, la reconstruction morale et civique de l’Ivoirien dit "nouveau" reste au point mort, principalement à cause d’un déficit de fermeté et d’autorité chez les dirigeants. Eh oui, la Côte d’Ivoire reste ce pays où tout le monde peut tout se permettre, en toute impunité. Les faits ne manquent pas pour illustrer cette situation regrettable. Téléphone au volant, déguerpissement des zones inondables, cigarettes et sachets plastiques dans les lieux publics…: Quand l’Etat laisse faire ? L’Etat de Côte d’Ivoire a pris un certain nombre de mesures qui ne sont pas respectées par la population. Face à ce laisser-aller, d’aucuns accusent le gouvernement de faire preuve de laxisme. Les automobilistes continuent de se montrer récalcitrants à l’interdiction du téléphone au volant. Il faut dire le mot et la chose. La mesure gouvernementale est foulée aux pieds. il faut sensibiliser à travers des messages chocs. Montrer à travers des téléfilms à la télévision publique les dangers du téléphone au volant pour chacun de nous, nos familles…Choquer pour faire prendre conscience. C’est à ce prix que la mesure sera respectée même dans les rues et ruelles où il ne peut toujours avoir des policiers en patrouille à tout moment. Que dire à présent de cette autre mesure salutaire du gouvernement: l’assainissement des voies publiques. On observe là également que l’Etat a du mal à se faire respecter. Il fut un temps à Adjamé où le commandant Zakaria Koné était parvenu à instaurer un ordre précaire sur le oulevard Nangui Abrogoua. ‘’Radio Treichville’’ a annoncé dans la foulée que les commerçants ont usé de tous les moyens pour obtenir leur retour sur la voie publique. Sous la pression d’on-nesait-qui, l’ex-homme fort de Séguéla a dû laisser le désordre se réinstaller. Malheureusement.Publié le :
8 février 2017Par:
Forestier de LahouAttention, le sachet plastique "biodégradable" est une calamité pour l'environnement, bien pire que le sachet plastique "ordinaire". Il faut donc interdire toute sorte de sachet plastique, "biodégradable" ou non, faire respecter cette mesure de manière contraignante, en particulier par des condamnations et autres sanctions judiciaires ",vers les contrevenants, et lancer des campagnes pour la récupération des cachets et autres morceaux de plastique qui traînent partout dans l'environnement, et pas seulement de manière aussi voyante et évidente que sur l'image d'illustration.PLUS D'ARTICLES
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Publié le :
8 avril 2017Par:
Maryam Mapouka