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COMMENTAIRES
Publié le :
3 juin 2017@Rolande KOUASSI calmez vous, ici c'est un site libre des expressions où chacun donne son point de vue et donc comme vous nous disons ce que nous pensons et ALORS je vais vous dire ? Qu'est ce qui vous dérange qu'on le dise ? Vous êtes coincés des fesses ou quoi ? Bon alors, si vous êtes touchée à un point qui dépasse l'entendement de ce que l'épouse du Président fait pour la salubrité soit, mais je vous rappelle que la dame est là depuis que son mari est là aussi et ça fait déjà quelques années mais que cela n'a PAS EVOLUE pour autant en CI niveau ordures partout à ce jour alors les propagandes pour la comm ON S'EN FOU VOILA ! Sachez que des ivoiriens et des ivoiriennes n'ont pas attendu ce week end pour rendre propre autour de chez eux avec la menace de voisins peut enclin à vouloir participer au nettoyage alentour de leurs quartiers mais ceux là qui s'y adonnent continuent malgré les insultes de leurs compatriotes peu civiques. Moi même je passe mon temps à faire la "police" pour changer les mentalités autour de moi alors ne soyez pas assise sur vos hauteurs pour venir dire qu'est ce qu'on a fait nous autres uniquement parce que la dame est venue devant caméra et micro pour cette fois OK ! Oui c'est pas si mal qu'elle l'ait fait mais cela servira à quoi au juste car qui va suivre ensuite si elle n'y met plus les pieds chaussés de ses escarpins ??? Donc chut vous aussi, on a le droit de dire les choses sans cacher les vérités cela n'induit pas qu'on manque de respect ou de considération à l'épouse du président de la république, loin s'en faut. On aurait aimé seulement que ce genre d'action soit réellement suivi dans le temps par la ministre Ouloto qui se démène beaucoup sans trop de résultats malheureusement malgré la présence de son invitée publicité ! Vous même balayer devant votre porte ... Et pas que le week dernier mais tous les autres à venir. Non mais maintenant on ne peut plus dire ce qu'on pense à cause de la présence de quelqu'un sur un site !!!Publié le :
3 juin 2017Par:
Rolande KOUASSIQu'elles aillent à Abobo, à koumassi, à Port-Bouet... Ce n'est pas cela le plus important; il y a pas de degré dans le mal. Toutes les communes sont malpropres même si la commune de Cocody l'est encore moins. Grand BRAVO à la Première Dame et à toutes ces femmes engagées dans le processus de la salubrité, qui de par leurs actions donnent une belle leçon à toutes ces personnes qui prétendent être les gestionnaires des collectivités territoriales. Aussi, quand je lis des personnes sur cette tribune, je ris parfois. Ces femmes ont pris de leur temps pour s'engager, vous , qu'avez-vous fait ce samedi en tant qu'ivoiriennes et ivoiriens , je parie que vous étiez dans vos canapés rembourrés (reste à savoir si vous en avez) en train de vous enquiquiner. Quant à moi, je suis sorti de chez moi pour m'engager dans cette lutte. Bref, comme dit l'antique adage, la critique est aisée.Publié le :
3 juin 2017Par:
Beugré JulienC'est bien de balayer. Mais où déposer ces ordures? Depuis la mort de SITAF, nous avons ce problème d'ordures entassées. Notre problème est comment récolter ces ordures pour Akouédo. Aussi, Akouédo est fermé. Alors?Publié le :
3 juin 2017Par:
AichaElle aurait du aller à Abobo qui est très sale . Et je suis d'accord avec celui qui dit que dans la mise en scène , elles auraient du porter des bottes.Publié le :
3 juin 2017Par:
Forestier de Lahou"papus" il ne faut pas avancer des justifications douteuses pour exonérer les gens de leur incivisme et de leur indiscipline. Ce n'est pas parce qu'il y a des problèmes dans la collecte et le traitement des ordures (quelles qu'en soient les causes) qu'il faut jeter les détritus partout, bien au contraire, c'est une raison de plus pour être propre et vigilant.Publié le :
3 juin 2017Par:
Beugré JulienJ'ai passé mon enfance à Koumassi. En ce moment-là, il y avait un département de la mairie de Koumassi (Service d’hygiène) qui confisquait les ustensiles des femmes qui versaient de l'eau sur la chaussée. Ces services n'existent plus. L'Africain a besoin constamment d'une police.Publié le :
3 juin 2017Par:
Beugré JulienC'est bien de balayer. Mais où déposer ces ordures? Depuis la mort de SIRAF, nous avons ce problème d'ordures entassées. Notre problème est comment récolter ces ordures pour Akouédo. Aussi, Akouédo est fermé. Alors?Publié le :
3 mai 2017Par:
HYVOIRHIENOUVOIl est bon qu'une fois les caniveaux curés, on enlève les ordures sorties de là.Malheureusement souvent ce n'est pas le cas.Publié le :
3 mai 2017Comme tout le monde à déjà dit plus ou moins l'essentiel, moi je commente la photo et je suis au regret de dire que l'on voit plutôt des gens qui ne sont pas du tout à l'aise avec un balais et une pelle ... Madame est bien gentille de faire la photo avec le sourire mais les shoes aux pieds pour faire du nettoyage dans le merdier qui est vu sur cette image je ne crois pas cela idéal, quand à Claude ISAAC que je remarque avec ses belles chaussures noires cirées ce n'est pas le genre non plus ... Son épouse doit bien sourire le voyant positionné ainsi car pas habituel certainement... Mdrrr ! Mais bon l'intention et le message à faire passer y sont alors c'est déjà ça et si eux juste pour la photo souvenir de propagande le font alors au moins nous populations devront mouiller la chemise ou le maillot et surtout chausser des bottes plastiques pour aller décrotter les lieux. Pourvu que l'effet dure aussi..Publié le :
3 mai 2017Par:
papusC'est bien toute cette mediatisation et cette prise de conscience de l'insalubrite,mais ces actions resteront ephemeres tant que l'ETAT sera un eternel MAUVAIS PAYEUR des emtreprises de ramassage. Les 16 milliards degages par l'ETAT vont servir a eponger une partie des dettes des entreprises et apres nos ordures reviendront.Publié le :
3 mai 2017Par:
Forestier de LahouC'est à chacun de balayer devant sa porte et de se discipliner afin de ne pas jeter les petits déchets (mouchoirs, sachets d'eau, canettes) et de descendre quotidiennement ses déchets ménagers correctement conditionnés dans les poubelles ou au point de collecte. Parallèlement, les autorités doivent indiquer clairement aux gens où et comment se débarrasser de ces déchets et veiller à leur "élimination" ou à leur recyclage dans des conditions honorables (par exemple pas comme à Grand Lahou où la municipalité se déshonore complètement en dispersant les ordures collectés sur le bas-côté de la route de Braffédon). Un petit effort quotidien (qui ne tuera ou n'épuisera personne) vaut mieux qu'un fastidieux grand ménage mensuel. Mais il faut un début à tout, et on se prend à rêver que, dans quelques années, ces rendez-vous mensuels ne seront plus que l'occasion de contempler un environnement nickel du fait de cette discipline de chaque jour.Publié le :
3 mai 2017Par:
Boko EvelyneVous avez fait un vrai point de la situation de l'insalubrité en Afrique, et en Côte d'Ivoire notamment M.Lago Tape. Or, je pense qu'avec un tout petit effort nous pouvons mettre fin à l'insalubrité galopante dans nos contrées . Ce que je constate ici, c'est la volonté des autorités, c'est un message très fort envoyé à la population. Je veux surtout dire merci à la Première Dame pour son engagement, je suis très fière de cette Dame.Publié le :
3 mai 2017Par:
Lago TapeCe débat sur l’insalubrité de nos rues et quartiers existe depuis que la croissance urbaine est devenue incontrôlée et il n’y a toujours pas une réponse concrète durable. Allons-nous oser finalement répondre à la question de départ : pourquoi nos villes sont-elles aussi sales ? Parce que nous sommes sales ! Nos villes ne sont que le reflet de ce que nous sommes. Prétendre le contraire c’est ne pas avoir le courage de se regarder devant le miroir ou plus grave, c’est qu’à force d’habitude, on fait un avec l’insalubrité au point de ne même pas s’en soucier. Mais dans ce cas ce sont les hommes et les femmes que nous sommes qu’il faut questionner et non incriminer bassement notre « culture africaine » Refusons la fatalité et relevons le défi de rendre (et de garder) nos villes et nos campagnes propres !Publié le :
3 mai 2017Par:
Youssef KouameL’irresponsabilité des ivoiriens doit être enfin soulignée. Qui déverse ses ordures dans les canaux d’évacuation des eaux usées ? Qui se permet de jeter sans état d’âme son gobelet de café ou son sachet plastique dans la rue ? Qui crache dans les bus et qui y laisse des restes de nourritures ? Qui urine contre les murs sans se préoccuper des odeurs d'urines ? L’insouciance des ivoiriens en matière de comportements par rapport à l’hygiène est déconcertante. C’est pourquoi, il est important d’observer trois attitudes complémentaires : – Une éducation approfondie et permanente sur les questions d’hygiène individuelle et collective, de préservation du cadre de vie. Ceci à tous les niveaux, pour tous les âges ; – Après ou avec la mise en place effective de tous les outils matériels, techniques et humains, l’Etat doit déployer son arsenal répressif pour sanctionner durement tous les contrevenants, allant de ceux qui volent le matériel (benne ou poubelle), les receleurs, les ouvriers ou entreprises qui les achètent pour être réutilisé ou transformé, au citoyen lambda qui déverse ses ordures (ou urine…) dans des endroits non autorisés ; – L’interdiction effective du plastique pour les sachets d'eau et d'attieke entre autres et son remplacement par des produits biodégradables. Sommes-nous vraiment prêts à rendre nos villes propres ? Si le cadre de vie est une priorité des gouvernants et des citoyens, la CI réussira ainsi le pari de rendre nos villes propres et de les maintenir ainsi. Qu’on ne nous parle pas d’absence de moyens. Il y a trop d’argent gaspillé dans le futile, surtout le futile appelé improprement par nos maires « social » et le citoyen ivoirien conscient de la nécessité de maintenir son cadre de vie sain ne devrait pas hésiter à participer financièrement à son amélioration.Publié le :
3 mai 2017Par:
Akissi DeltaL’Etat et les collectivités locales gaspillent énormément d’argent dans des dépenses de prestige ou pour maintenir une clientèle politique. Des associations de jeunes ou de femmes sont subventionnées tous les ans, des combats de luttes et autres manifestations sont parrainés avec l’argent public, alors qu’ils n’apportent aucune amélioration dans l’existence des populations et de leur cadre de vie. Si en lieu et place de ces « actions sociales », l’Etat et les collectivités locales, faisaient le pari d’équiper chaque ménage au moins d’une poubelle et plus au fil des années pour aboutir au tri sélectif (qui permettra un recyclage plus important, donc des économies substantielles) nous ferions un grand pas vers l’assainissement de nos quartiers. Dans le même ordre d’idée, des poubelles publiques doivent être installées à tous les endroits sensibles (carrefours, zones très fréquentées…). Certains lieux publics gérèrent de l’argent, pourquoi au moins une partie ne leur serait-il pas retournée directement pour assurer leur propreté et leur sécurité ? Nos marchés et nos gares routières sont tellement dégueulasses, surtout en période De saison des pluies, qu’on est en droit de se demander où va cet argent. Au fonctionnement des municipalités ! On est en train de jouer avec la santé des populations en laissant des endroits aussi sensibles dans un état déplorable. La profession d’éboueur(euse) doit aussi être revalorisée. Il n’est pas juste que ceux qui doivent maintenir nos rues et places publiques propres, et qui prennent des risques pour leur santé, reçoivent des salaires dérisoires qui ressemblent à de la charité.Publié le :
3 mai 2017Par:
Fatou DiagneL’Etat (et/ou les mairies) ...est le premier responsable de l’insalubrité dans nos rues et nos quartiers, donc des maladies qui en découlent. Il est le garant de la salubrité publique et prélève des impôts (Taxe sur les ordures ménagères – patentes payées par les commerçants et les pousseurs de charrettes (Wotros) pour assurer cette mission. Il se doit de garantir la viabilité des entreprises de nettoiement et d’assainissement, de veiller à la collecte régulière des ordures, au nettoyage sans discrimination des marchés, des rues, à la mise en place et à l’entretien des égouts et des canaux d’évacuation des eaux pluviales. La gestion des ordures est d’un enjeu capital, qui dépasse la question du cadre de vie. Malheureusement, l’enjeu financier l’emporte sur toute autre considération. C’est cet enjeu financier qui explique la succession de faillites des entreprises de nettoiement ; des entreprises qui sont liquidées à cause des luttes d’influences internes et externes pour le contrôle de la manne financière. Les déchets sont de l’or, certains l’ont compris…Publié le :
3 mai 2017Par:
Aya de YopougonParce que les Africains hybrides que nous sommes devenus ne pensons plus à l’intérêt général; Nous pouvons même être amenés à penser que l’intérêt général nuit à nos intérêts propres. Dans cette nouvelle culture urbaine africaine, on entend des propos aussi affligeants que : « les microbes ne tuent pas l’Africain (ou le Noir) » et lorsqu’un Africain montre son aversion contre la saleté il peut être traité de Blanc. Dans toute l'Afrique, on se dit en majorité croyants, musulmans ou chrétiens. L’Islam n’enseigne-t-il pas la propreté par le biais des ablutions et de la toilette rituelle ? Le baptême (chrétien) n’est-il pas un rappel à maintenir le corps sain ? Il est aussi important de souligner que si les villes européennes sont aujourd’hui propres, c’est parce que leurs dirigeants ont fait un examen de conscience et ont pratiqué depuis la fin du 19ème siècle une politique volontariste pour imposer les normes d’hygiène individuelle, collective, et se les faire approprier par les populations. Etat, collectivités locales, mairies, entreprises, citoyens, tous responsables !Un cadre de vie sain devrait être la priorité des priorités. Ces dernières années, nous avons assisté à la résurgence et la recrudescence de maladies qui ont disparu sur une bonne partie de la planète. Des épidémies de choléra sont apparues. Cette infection est causée par un environnement pestilentiel (eau de boisson souillée, matières fécales). Cet environnement reste omniprésent dans toutes nos villes (eaux stagnantes, ordures, promiscuité…), nous exposant à des risques potentiels. Dans nos grandes villes, les moustiques restent actives 12 mois sur 12. Cette situation ne s’expliquerait autrement que par l’insalubrité chronique...Publié le :
3 avril 2017Par:
Lago TapeAbobo, Adjamé,…! A l’évocation de ces quartiers d'Abidjan, on pense automatiquement : « sale ». La saleté de ces quartiers est légendaire. Cela est symptomatique de l’insalubrité qui règne dans nos villes. Quelle ville ivoirienne peut se prétendre propre ? Les ordures sont « partout. Pour paraphraser un chanteur bien connu: Les ordures sont partout, les mauvaises odeurs aussi… Nos villes sont tellement insalubres qu’on peut se demander s’il ne s’agit pas d’un trait culturel des Africains. Si l’on se fie à l’image que présentent les villes africaines, on peut être amené à le penser. Néanmoins, lorsqu’on jette un regard avisé sur nos villages et nos traditions, on se rend compte que cette insalubrité est récente et essentiellement urbaine. Le citadin africain s’est créé une nouvelle culture, qui n’est plus spécifiquement africaine, ni tout à fait occidentale, islamique, ou autre. Le citadin africain est un être hybride qui a choisi le pire de sa culture d’origine et des autres cultures en matière de comportements. Cet être hybride qu’est le citadin africain d’aujourd’hui se montre irrespectueux de l’ordre public et du bien-être collectif. Il est indiscipliné. Seul son intérêt personnel l’intéresse, que les autres crèvent, il s’en moque. C’est pour cette raison qu’il ne respecte pas la file d’attente, jette ses ordures dans la rue, crache dans les bus, occupe illégalement l’espace public. Ce citadin africain hybride a un alibi absurde: "La rue appartient à tout le monde...". Cet alibi, il ne l’utilise évidemment que dans un sens négatif. La rue appartient à tout le monde, donc il peut en faire ce qu’il veut, qu’importe le préjudice qu’il cause à l’environnement. Pourtant, La culture africaine ordonne la propreté. En effet, dès le jeune âge, les Africains apprennent à entretenir leur hygiène corporelle. Les Africains sont les seuls à se laver deux à trois fois dans la journée. Pour quelles raisons cette hygiène apprise tôt ne se traduit-elle pas dans le vécu collectif ?Publié le :
3 avril 2017Par:
BEUGRÉ ThomasUne Première Dame exceptionnelle, FORMIDABLE.Publié le :
3 avril 2017Par:
FoussIl suffirait de donner aux vrais balayeuses et balayeurs ces équipements exhibés ici et le salaire mérités pourque les rues soient propres.Publié le :
3 avril 2017Par:
Zady AndréWaouh!!! Une Première Dame exemplaire. Que Dieu vous bénisse Madame la Première Dame.Publié le :
3 avril 2017Par:
Ericka KouaméJe suis fière de notre Première Dame, mon modèle. J'aime vraiment cette grande Dame.PLUS D'ARTICLES
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Publié le :
3 juillet 2017Par:
Rolande KOUASSI